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André Lavoie, journaliste



Photo : Louis-Étienne Doré

Du cheerleading de calibre mondial à la psychologie sportive, il n’y avait qu’un saut pour Elena Grilli Cadieux! Celle qui veille aujourd’hui au bien-être psychologique de nombreux athlètes québécois – dont plusieurs participeront aux Jeux olympiques de 2026 – a elle-même connu les grandeurs et misères du milieu sportif de haut niveau. De l’adolescence jusqu’au début de la vingtaine, elle a brillé au sein d’une équipe qui a atteint les plus hauts sommets en 2013 en remportant la compétition mondiale de cheerleading à Orlando, en Floride. Après ces années d’entraînement et de performance, la vie de cette native de L’Île-Bizard a pris une trajectoire tout aussi disciplinée, mais nettement différente. Ses études en psychologie l’ont tout naturellement conduite vers… le monde sportif. Depuis 2020, la Dre Grilli Cadieux, psychologue, oeuvre ainsi au sein de l’Institut national du sport du Québec (INS Québec), situé au coeur du Parc olympique de Montréal. À l’approche des Jeux olympiques d’hiver qui se tiendront en Italie dans moins de six mois, Psychologie Québec s’est entretenue avec la psychologue qui a pour leitmotiv : « L’humain d’abord, l’athlète ensuite. »

Qu’est-ce qui vous a donné envie de devenir psychologue, et plus particulièrement dans le domaine sportif?

 

 

 

 


À traits levés

1. Un conseil aux jeunes psychologues :
« Le métier de psychologue est le plus beau du monde, mais pour le pratiquer, il faut prendre soin de soi. »

2. Un film marquant :
« Inception (Origine, 2010), de Christopher Nolan. »

3. Que diriez-vous à l'étudiante Elena Grilli Cadieux?
« Même s’il n’est pas simple de devenir psychologue du sport, de croire en ses rêves. »

4. Une phrase ou un proverbe qui vous définit ou qui vous donne de la motivation :
« Tout ce qu’il nous faut est de mettre de l’ordre à l’intérieur de nous et l’extérieur prendra soin de luimême. » – Eckhart Tolle