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L'Ordre en mode rentrée
Comme des annonces ont été faites par le gouvernement depuis la publication du dernier numéro du magazine Psychologie Québec, j’aimerais vous faire part non seulement des faits saillants du rapport du groupe de travail présidé par Mme Hélène David, mais aussi des nuances qui s’imposent quant à la portée du mandat et aux mesures annoncées.
Troubles mentaux sévères et risque de violence : évaluation et interventions
La plupart des psychologues peuvent être confrontés, durant leur carrière, à des personnes souffrant d’un trouble mental sévère (TMS). Pourquoi certaines personnes commettent une agression ou passent à l’acte violent alors que d’autres ne le font pas? Comment les psychologues peuvent-ils bien évaluer le risque de violence afin d’aider leurs clients ? Et comment peuvent-ils combattre la conception erronée selon laquelle les personnes atteintes d’un TMS sont nécessairement violentes?
Durant sa carrière dans le réseau public de la santé, la psychologue Marie-Josée Prévost a marqué de façon significative l’approche clinique des personnes ayant une déficience intellectuelle et des troubles mentaux associés à des troubles graves de comportement.
Il y a 25 ans, le DSM-IV-TR ne reconnaissait pas le TDAH chez l’adulte ; les chercheurs en étaient aux premières études sur l’évolution des symptômes de l’enfance à l’âge adulte. Or, aujourd’hui, tous reconnaissent que les symptômes évoluent jusqu’à l’âge adulte et, d’ailleurs, le DSM-5 module l’expression des symptômes en fonction de l’âge de la personne.
Dans ce dossier sur le TDAH, cinq articles font état de nouvelles connaissances en la matière.
Des études révèlent que, comparativement aux adultes de la population générale, ceux vivant avec un trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) présentent des taux plus élevés d’insatisfaction relationnelle, de séparation ainsi que de violence lors des conflits. Or, la recherche sur les manifestations du TDAH au sein du couple demeure embryonnaire, ce qui contribue au manque de connaissances et de ressources pour les cliniciens qui oeuvrent auprès de cette population.
Plusieurs médias ont mis de l’avant la surreprésentation chez les jeunes du trouble neurodéveloppemental qu'est le TDAH caractérisé par des difficultés persistantes à moduler son attention, à s’organiser, à réguler ses émotions et son comportement. Une prévalence élevée fait se questionner et suppose qu’une interprétation pathologique est trop souvent attribuée à des comportements dérangeants, s’apparentant à un TDAH, mais étant davantage transitoires ou résultant d’une immaturité ou de difficultés psychoaffectives.
Les conséquences du TDAH sur le fonctionnement quotidien, sur le plan aussi bien social que familial, scolaire ou occupationnel, nécessitent la mise en place d’interventions efficaces. Le traitement du TDAH est multimodal et combine la pharmacothérapie et des interventions non pharmacologiques (CADDRA, 2020). En plus des interventions éducatives et psychosociales déjà bien établies en tant qu’approches non pharmacologiques, les interventions dites centrées sur « le corps et l’esprit » (Mind-Body Therapy), comme les interventions basées sur la pleine conscience, le yoga et l’activité physique, suscitent un intérêt croissant dans la communauté scientifique.
Parmi les jeunes qui présentent un trouble anxieux, ce sont environ 28 % qui ont aussi un trouble de déficit de l’attention/hyperactivité (TDAH). La thérapie cognitive- comportementale (TCC) est un traitement psychologique de choix pour les troubles anxieux chez cette clientèle. Toutefois, des adaptations doivent souvent être apportées afin de pallier les difficultés associées au TDAH, comme l’inattention et l’hyperactivité.
Bien que la cooccurrence du TDAH et du trouble psychotique soit associée à un moins bon pronostic et à une moins bonne réponse au traitement, il reste que le TDAH serait sous-diagnostiqué et sous-traité chez les personnes composant avec un trouble psychotique, ce qui représente un frein au rétablissement.
Colloques et congrès
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11e Congrès de neuropsychologie clinique de l'Association québécoise des neuropsychologues (AQNP)
Montréal et en ligne
Pour plus d'infos
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1re conférence en psychotraumatologie de l'Institut Douglas et 2e conférence internationale sur la thérapie de reconsolidation
Montréal
Pour plus d'infos
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